Cette phrase lapidaire est extraite de Soumission, le dernier roman de Michel Houellebecq. Dans Palais 23, le magazine du Palais de Tokyo, consacré à l’exposition Rester vivant, Michel Houellebecq dit que dans chacun de ses romans il y a toujours un moment où le personnage principal comprend qu’il n’a rien de spécial comparé aux autres êtres humains.