Sauve-toi, pour ta vie ; ne regarde pas derrière toi, et ne t’arrête pas dans toute la plaine ; sauve-toi vers la montagne, de peur que tu ne périsses. (Genèse 19, 17)
Le jeune Hedi préfère la triste sécurité d’une vie stable et bien rangée plutôt qu’un bonheur hasardeux mais possible. Comme l’épouse de Lot, il préfère regarder en arrière et se transformer en une statue de sel. Hedi n’a jamais rien choisi dans sa vie et l’unique choix qu’il fait, quand se présente à lui l’opportunité de changer sa vie, c’est de continuer à ne pas choisir. Paul Watzlawick aurait bien ajouté une section pour Hedi dans son livre Faites vous-même votre malheur.